Ordre du jour :
– 1ère réunion de négociation de la CRC portant sur les mesures d’accompagnement
– présentation détaillée des dispositifs de mobilité envisagés
Notre 1ère intervention sera pour souligner l’absence simultanée des 3 directeurs généraux le jour même où débutent les 1ères négociations sur les mesures d’accompagnements !!!
M. LE GOURRIEREC nous indique que M. Daniel KARYOTIS sera peut être présent, en fonction de ses contraintes, pour les prochaines séances et que les DRH ont bien mandat pour négocier.
Il nous semble singulier que le chef du projet AURA affiche sa volonté de traiter « humainement » cette fusion et de ne pas participer, dès la 1ère séance, aux négociations des conséquences sociales de cette opération industrielle…
Nos interventions suivantes dénonceront l’incompréhension du projet et son imprécision :
– comment peut-on déterminer arithmétiquement le nombre de 238 suppressions de postes sans être en capacité d’expliquer la méthode et d’en démontrer la fiabilité ?
– comment absorber une charge de travail constante avec des effectifs en diminution ?
– comment aborder ces 1ères négociations des mesures d’accompagnement sans que les salariés et/ou leurs postes impactés ou risquant de l’être soient clairement identifiés ?
– comment appréhender le périmètre de ce projet de fusion et sa gestion sans connaître les alternatives en cas d’insuffisance ou de surplus de candidatures au départ ?
– comment résoudre le cas de salariés impactés qui ne seront volontaires, ni à une mobilité fonctionnelle, ni à une mobilité géographique ?
– comment admettre l’absence de porosité entre métiers siège et réseaux ?
– comment croire dès lors à une fusion sans départs contraints ?
Autant de questions portées par l’ensemble des Organisations Syndicales qui demeureront sans réponses pour cette journée. La CGT, le SNB et l’UNSA ont lu une déclaration commune reprenant en 9 points ces interrogations et exigé une réponse