La CGT BPGO vous présente ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année !
Et bien non ! Cette année la CGT BPGO n’a pas écrit au Père Noël (cela ne marchait plus depuis quelques temps) mais a préféré écrire dès le 07/12/2018 à notre direction pour demander l’ouverture d’une négociation sur les mesures annoncées par le gouvernement : Versement d’une prime de pouvoir d’achat ! Cette demande restée sans réponse malgré nos relances… sera finalement une décision unilatérale de versement d’une prime de 1000 euros pour les salaires jusqu’à deux fois le SMIC … et rien pour les autres … information communiquée aux membres du CODIR « à diffuser à leur convenance » le 21/12/2018. Le gouvernement annonce une possibilité jusqu’à trois fois le SMIC pour cette prime. La CGT BPGO a demandé une enveloppe supplémentaire pour le versement d’une prime de pouvoir d’achat de 500 euros pour les salaires entre 2 et 3 smic … Fin de non-recevoir sans discussion possible ! … vive la qualité du dialogue social comme M Bourrigaud se vante souvent dans les communications !
NAO Nationale :NON
Face à la position fermée de la direction qui ne fait aucun pas vers les demandes des Organisations syndicales : aucune signature sur la proposition de 0,7% d’augmentation pour les salaires jusqu’à 70 000 euros (inflation 2018 proche de 2% ….) : vive les inégalités : Pour un salaire de 70 000 € : 490 €/an Pour un salaire de 25 000 € : 250 €/an(plancher)
La CGT demandait 100 euros par mois pour tous
NAO Locale :NON La CGT BPGO demandait une enveloppe plus importante pour les négociations, des mesures catégorielles touchant les plus bas salaires par métiers (CA, C Part, C Pro, DA, Siège….). Une réelle prise en compte des inégalités pro ! Nos demandes n’étant que trop peu prises en compte la NAO ne sera pas signée par la CGT BPGO.
Nous alertons nos collègues féminines sur le fait qu’en 2018 les montants des augmentations individuelles versés sont plus importants pour les hommes que pour les femmes … les mesures égalité pro ne servent donc malheureusement pas à régulariser cette injustice